Les Raisins De La Colere

John Steinbeck


français | 09-05-1972 | 640 pages

9782070360833

Livre de poche


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Brève description / annotation

«Le soleil se leva derrière eux, et alors... brusquement, ils découvrirent à leurs pieds l'immense vallée. Al freina violemment et s'arrêta en plein milieu de la route. - Nom de Dieu ! Regardez ! s'écria-t-il. Les vignobles, les vergers, la grande vallée plate, verte et resplendissante, les longues files d'arbres fruitiers et les fermes. Et Pa dit : - Dieu tout-puissant !... J'aurais jamais cru que ça pouvait exister, un pays aussi beau.»

Détails

Code EAN :9782070360833
Auteur(trice): 
Editeur :Folio
Traduit par : Marcel Duhamel
Date de publication :  09-05-1972
Format :Livre de poche
Langue(s) : français
Hauteur :178 mm
Largeur :108 mm
Epaisseur :27 mm
Poids :312 gr
Stock :Non disponible, L'éditeur indique ON (OP)
Nombre de pages :640
Collection :  Folio

Jamais le mot "chef-d'œuvre" n'aura été si mérité !

Nous avons entrepris la lecture de ce roman paru aux Etats-Unis en 1939 afin de préparer au mieux la pièce éponyme présentée au Centre culturel des Tréteaux. Nous avons découvert un livre qui sur plus de six cents pages présente des personnages qui se débattent avec la vie, leurs peurs, leurs joies, leurs espoirs et leurs désespoirs. Dans une Californie du premier tiers du XXe siècle, des milliers d'américains tentent de trouver du travail dans un système économique qui organise le chômage afin de tirer vers le bas les salaires et les conditions de travail. C'est avec une de ces familles que vous vivrez les pages de ce roman écrit par un exceptionnel John Steinbeck qui fut couronné par le prix Nobel de littérature en 1962. Les Raisins de la la colère est d'une brûlante actualité. Nous profitons de cette chronique pour remercier Daniel Hackier, directeur artistique du Centre culturel des Tréteaux pour nous avoir présenté cette pièce et ces acteurs-musiciens qui furent applaudis par des spectateurs conscients qu'une chef-d'œuvre d'écriture en avait engendré un autre, théâtral celui-là.


Par Pierre Cerfontaine